Maître De Jeu
| Sujet: Les Divinités Lun 23 Jan - 23:20 | |
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Sehamine, père de la technologie, est souvent représenté comme un vieil elfe à la peau blanchâtre et aux traits sculptés à même l'essence de la grâce. Dans son atelier, il crée les merveilles que les elfes mondains utilisent couramment. Il porte souvent un tablier et une longue cape pour ne pas abîmer les vêtements dorés qu’il porte sous celle-ci. Sa femme Thelandira, divinité de la magie, est représentée comme une grande elfe svelte et mince entourée d’une aura bleue électrique. Cet aura symbolise la puissance magique qu’elle livra aux Hauts-Elfes en échange d’une éternelle reconnaissance. Imbue d’elle-même, elle s’attend à une grande fidélité de la part de son peuple. Son culte prône la liberté d’expression et d’action. Rallafane, déesse de la guérison et Hanil, dieu de la chasse, sont considéré comme les divinités de la nature. Leurs représentations montrent souvent un couple au teint bronzé et à la peau burinée. Lui bande un arc d’if et elle guérit ses blessures. Leur résilience est légendaire et leur courage est un exemple pour tous les elfes sylvestres. Tiamat, mère du feu et des volcans, est symbolisé par une grande femme bien en chair. Son comportement explosif est souvent dépeint par ses prêtresses qui sont choisies en fonction de leurs humeurs. Changeante, la déesse du feu n’est pas prompte au pardon. La plupart de ses fidèles qui ne la respectent pas finissent fumant dans un fossé. L’autre grande divinité humaine est Kossath, grand dieu de la purification et de la destruction. Calme et posé, il est tout l’opposé de Tiamat. Malgré son intelligence, on ne le surnomme pas le dieu de la destruction par plaisir. Froid, il ne se préoccupe pas de ceux qui meurent en son nom ou au nom d’une cause. Il accomplit ce qui doit être accomplit. Selvie, divinité des secrets de l'occulte et Vaherum, divinité de l'invocation et des poisons, aussi connus sous le surnom de couple maléfique, sont les principales divinités des elfes d’ébène. Ces deux sœurs lesbiennes s’amusent autant à voir souffrir les autres qu’à se faire la cour. Versées dans les arts sombre de l’occultisme l’une comme l’autre ne se rebutent pas à l’idée d’enseigner certains de leur secret aux hautes prêtresses qui régissent la société de l’ombre. Divinité changeante et aux multiples formes, Laelith n’a pas de représentant ni de représentations fixe. Elle est aimée de tous et chacun à sa propre manière de la vénérer. |
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