"Qui es-tu ? ...
"








« L'apparence est le vêtement de la personnalité. »

« Mon physique importe peu, je peux être la plus belle des femmes, il n'empêchera que la réelle beauté est celle de l'âme. »
Moi, Daelya, je suis une elfe, une haute elfe ! Et pourtant, mon physique est des plus sombres. Pour commencer, commentons ma chevelure ; elle est mi-longue et m'arrive au niveau des épaules, ma chevelure est de couleur brune ; des cheveux très foncés et ondulé. Mon front est d'une taille normal, il se trouve là une sorte de pendentif en pierre précieuse bleue -cadeau de ma mère dont je ne connais pas les origines- accroché à un fil entourant ma tête. Mes yeux sont d'une couleur extrêmement foncé ; des yeux marron et lorsqu'il n'y a pas de lumière, on peut croire que ses yeux sont noir. Mon nez est assez petit et retroussée et mes lèvres sont fines. Mon odorat est plutôt développé et me permet de sentir les herbes dont j'use pour pouvoir créer des potions. Ma peau est assez pâle ; c'est quelque chose de plutôt commun chez les elfes. Mes oreilles sont pointues et mes doigts sont fin et très agiles.

Quant à ma tenue, elle est composée d'une longue robe de tissu bleu foncé ornée de bandes de tissus rouge et or. Cette même robe recouvre une longue paire de botte en cuir noir que j'eus moi-même confectionné et qui semble tenir la route. Ma robe est recouverte par une magnifique cape en cuir portant terriblement chaud et recouvert d'un joli tissu bleu, une capuche est assortie à cette même cape et me permet de cacher mon visage ou de simplement le recouvrir en temps de pluie.




« Le caractère d'un homme crée son destin. »

« - Tout d'abord, est-il possible de se définir soit même sans jamais exagérer ? Tout être pourvue d'une vie plus ou moins longue, vous répondrait que non. Chaque être Humain est assez - voir trop - stupide pour vous donner autre que ses meilleures qualités, cachant ses plus grands défauts. L'humanité est ainsi constituée. Constituée seulement de menteur et de lâches ; il existe bien, en ce monde, une part de vérité, mais qui tentera de la trouver verra son esprit tâché jusqu'à que la folie le gagne. »

J'étais une fille à peu près comme les autres, mais mon caractère n'aura jamais changé durant mes quatre-vingt-treize années de vie. Mon caractère ? Il est composé, malheureusement pour moi, de plus de défaut (qui s'avère souvent être l'un des pêchés capitaux mais, pas assez poussé pour qu'il soit considéré comme tel.) Je vous le décris donc ; puisque c'est, apparemment, ce que vous attendez.
Niveau qualité, je suis assez gentille, douce (avec qui le mérite), tranquille, sociable (bien que trois fois sur quatre, les gens me fuient pour ma folie), je suis plutôt empathique (il faut avouer que l'empathie n'est pas forcément une qualité ; cela dépend tout simplement du point de vue que l'on adopte). Que dire d'autres ? Je suis également ambitieuse ; j'aime viser haut (souvent trop) et réussir les défis, les buts que je me fixe.


Passons maintenant aux défauts ! Je suis une femme très impatiente, impulsif et indécise. Autant dire que le mélange de l'impatience et de l'indécision donne quelque chose d'horrible ! Ensuite, je suis aussi une femme très distraite ; on peut me parler de la fin de notre monde ou même celle de notre peuple, autrement dit : d'un sujet grave, et pourtant, ces oiseaux qui passaient par là qui attira mon attention et la gardera jusqu'à que mon moi-intérieur (je ne suis définitivement pas décidée d'utiliser l'autre mot) décide de prêter attention à quelque chose de bien plus intéressant... Pour lui.
Étant une femme très paresseuse, je possède très peu d'amis et me retrouve très souvent en solitaire, néanmoins, je me complais de cette vie, certes, seule, mais tout de même ma vie. Je continus ; je suis assez pointilleuse (mais cela se voit peu, c'est sans doute mon défaut le moins prononcé.) Mis à part cela, je suis gourmande - mais gourmande de thé - et terriblement curieuse, voir trop curieuses. D'ailleurs, il me semble qu'avec ma paresse, ma curiosité soit le pire des défauts que je possède ; peut-être un jour comprendrez vous pourquoi je dis cela de moi.

QUE FERIEZ-VOUS SI... :
|• Vous venez de vous faire voler votre bourse par un gamin sur le marché ? : Rien du tout, est-ce qu'un enfant mérite punition alors qu'il souhaite subvenir à ses besoins ?
|• Un homme est blessé au bord d'un chemin ? : Cela dépend de sa race. Homme : je ne lui fais aucune confiance à cause de ce qu'il c'est passer dans le passé. Si c'est un elfe, c'est tout autre chose ; j'accours et l'aide du mieux que je peux.
|• Un animal est blessé au bord d'un chemin ? : Je l'aide, bien évidemment. (Sauf s'il fait deux fois ma taille et mon poids !)
|• Dans un magasin, un client apparemment très fortuné entre ? : Je me contente de continuer à faire ce que je faisais. Qu'il soit riche ne change pas sa race mais sa classe social ; je ne me retournerais que pour la Reine ou le Roi des elfes.
|• Au détour d'une ruelle, au crépuscule, une fille de joie vous fait de l’œil ? : Je ne prête aucune attention aux femmes et aux hommes, donc même si cela arrivait, je ne le saurais sans doute pas.
|• Un de vos amis vous trahit ? : Je ne peux pas savoir toutes les idées et les sentiments qui me passerons par la tête et par le coeur, donc je ne peux répondre.

« Mon histoire... »

« Et les étoiles à leur tour, comme torches funèbres, font les funérailles du jour. »

L'innocence...

« - Je commence mon récit comme tous récits se doit de commencer. C'est-à-dire par une phrase inutile pour introduire un texte plus ou moins long et énervant que personne n'a envie de lire mais, que par obligation, nous lirons. »

Je suis née en Enedlossë, répondant du nom de Daelya Edylind. Daelya n'avait et n'aurait jamais aucune signification, mais, ce que je peux vous dire sur ce prénom, c'est qu'il était composé de la première lettre de tous les prénoms de mes frères et sœur plus ceux de mes parents. Pour commencer, la première lettre du prénom de ma mère : Dénya (ressemblant d'ailleurs très étrangement au mien.) Puis, respectivement ;
Alenïe ♀
Estrel ♂
Lyse ♀
Yunaëllya♀

Et pour finir, ils prirent la première lettre du prénom de mon père, à savoir Astrïel.

J'avais, bien entendu, plus de frères et sœur mais, mon prénom, aurait sans doute ressemblé à quelque chose de trop étrange pour eux et trop long à apprendre (mes parents étaient plutôt simples d'esprit, ils ne possédaient aucune opinion sur aucun des sujets les plus basiques qui existent sur notre planète, je reprends) mes parents avaient fait, ensemble et séparément douze enfants ; sept d'entres eux n'étaient pas mes frères et sœurs de sang mais mes demi-frère et sœur de sang... Certes, cela peux ne pas compter pour beaucoup des personnes que je et j'eus connu durant ma longue vie, mais pour moi, c'était différent. Aucun de mes sept frères ou sœurs ne me ressemblait, de près, ou de loin.

Mais, je parle trop d'eux, alors que j'étais là pour vous conter mon histoire. Elle débuta donc ce fameux jour où je n'acquis de l'union de deux hauts elfes ayant déjà bien vécu. J'étais une petite elfe, tout ce qu'il y avait de plus normal ; ma peau était pâle, mes oreilles pointue, j'étais assez maigre et même plutôt grande pour mon âge : du moins, mes parents me le dirent durant toute mon enfance. Cette fille que j'étais, avait néanmoins quelque chose de différent de ses deux parents : des cheveux bruns. C'était à la fois étrange et très peu rassurant ; comment ce faisait-il que j'eus des cheveux bruns alors que mes parents, eux, avaient tous deux des tignasses blondes au possible ? Malheureusement encore aujourd'hui, le mystère n'est pas résolut.

Je continue. Mon enfance se déroula sans trop de problèmes ; j'appris à écrire, parler et marcher très jeune : durant ma première année, même, je crois. Mais mes souvenirs sont très flou, et pour cause, je crois qu'ils ont étaient pour la plupart mélanger avec ceux de Niëllya (Je parlerais d'elle un peu plus tard.) Une fois que mon langage fut courant, que je marchais, courais et dansais à ma guise, mes parents me donnèrent ma liberté. Mais... Cette liberté, qu'allais-je en faire ?

Les années passèrent, lentement, lentement... Plus de cinquante années passèrent, je n'étais alors pas encore au courant de ce qu'il s'était passer entre humains et elfes ; ma mère me protégeait bien trop et mon père était un papa-poule... Je m'étais donc faite des amis parmi les humains, je ne savais d'ailleurs même pas qu'ils en étaient et je compris bien vite qu'il ne fallait pas les côtoyer ; les années passèrent un peu plus vite, bientôt soixante ans d'existence et tout ce que j'avais fais c'était des potions, lu des livres, je m'étais entraînée à l'arc et m'étais amusée comme une folle... Mais peu à peu, je perdis mes amis humains ; je les avais vu changer, de longues années, leur physique s'était enlaidit, c'était terrible à voir... Puis, j'appris par leurs enfants qu'ils étaient morts...

… d'une enfant...

Ma peine ravagea mon pauvre corps ; je n'étais encore qu'une enfant mentalement, même si mon corps était adulte... J'étais troublée par cette présence affective qu'ils me donnaient contrairement à mes parents ; d'ailleurs, ces derniers se firent de plus en plus absent... Ma tristesse était tel que, dès que je voyais un humain, je voulais le frapper, le tuer, hurler à l'immortalité et à la stupidité que cela était... Mais, avais-je le droit de me plaindre ? Car, si eux avaient vécu, moi aussi, j'avais vécu, et même que je vivrais encore, moi... alors qu'eux, ils finiraient en poussière d'étoile.

Puis un jour, j'appris cette histoire là. Celle de la guerre, celle de la trahison... Je crois que, depuis que ma mère m'eut conter cette histoire, je n'avais plus aucun regret concernant la mort de mes amis. Les humains... êtres répugnants qui avaient fini par goûter à la richesse, à l'envie, au pouvoir... Ah, ah, peuvent-ils se vantaient d'une chose pareille ? Visiblement, ils l'eurent fait durant le passé, quels êtres décidément trop stupides...

Mon dégoût fut tel que je n'osais plus aller vers les humains, lorsque j'en voyais, je partais... C'était ma façon de leur faire comprendre, leur faire comprendre ma haine et mon dégoût envers eux. Mais, fallait-il s'éterniser sur ce sujet ? Sûrement pas. Je passais donc à autre chose, reprenant la lecture afin d'obtenir de nouvelles connaissances.

...part en fumée.

Douloureuses années suivantes. J'étais âgée de quatre-vingt-deux ans lorsque ça arriva. Ça ? Tout simplement ma folie. Ma folie... Fut la chose que j'eus le plus de facilité à accepter ; autant pour les humains, cela me pris une longue semaine, autant cette fois-ci, je ne mis que quelques heures à l'accepter. Elle faisait totalement partie de moi, impossible à m'en défaire, et pourtant, j'essayais.

Ce fut lors d'une soirée où la neige recouvrait le toit de la maison que j'avais construis à l'aide de mes parents quatre ans auparavant, que je découvris Niellyä... Elle apparut d'abord dans mes rêves, une semaine auparavant ; je suppose que c'est le manque, la tristesse et la solitude qui me poussa à la créer, elle.

Elle apparut donc cette fameuse soirée sous la forme d'une voix, plutôt douce, amical... Mais, elle me changea radicalement. Au début, je cru que j'étais possédée et attendis, calmement, près d''une bougie.. Mais, ces voix persistaient et j'appris à les entendre. Mes parents, quant à eux, ils interdirent à mes frères et sœur plus petit que moi de venir me voir ; peut-être était-ce contagieux.

Je passais ainsi les onze dernières années de ma vie, onze avant ce fameux jour où je vous conte cette histoire. Niellyä fait entièrement partie de moi, nous partageons meilleur comme pire moments et elle a apprit à connaître mes envies ; elle ne me gêne pas pendant quelques temps, lorsque je suis un peu déprimée. Je suis actuellement en quête d'aventure et elle le sait bien !

Spoiler:

Bonjour et bienvenue parmi nous

J'ai bien aimé ton style d'écriture, il se lit facilement, c'est agréable. Dommage que tu puisses faire des fautes, je te demanderais aussi de faire attention durant tes rps, ça peut être gênant pour tes partenaires.

J'ai adoré l'histoire de la conception de ton prénom, c'est très original !

Par contre je trouve dommage que tu résumes l'histoire de ton personnage et j'aimerais que tu développes plus sur Niellyä avant que je t'accorde mon OUI, tu peux expliquer comment tu as vécu la situation au début, comment tu peux expliquer ça, comment ça se fait que tu puisses vivre avec si facilement car au final ça n'a rien de normal et donc ça doit être un minimum perturbant, etc. Je te donne des lignes de directives pour t'inspirer, tu fais évidemment comme tu veux.

C'est une fiche après tout, et c'est donc là que tu dois expliquer et non pas faire un résumé.

EDIT : j'ai vu que tu n'avais pas mis le code non plus, chose nécessaire à la validation. Puis tu ne peux pas poster de demande de rp, tu n'es pas encore validée.